François Hollande,le candidat socialiste français à l'élection présidentielle française vient faire son marché électoral dans une des colonies de la France invité bien évidemment par les conservateurs socialistes guadeloupéens ou plus exactement par le clan des français dont le chef de file VICTORIN LUREL en attend monts et merveilles lui qui est à la recherche de la considération des grands maîtres blancs. Son passage dans notre pays coïncide avec la perte du sésame AAA qui illustre l'incompétence, le laxisme et la mauvaise gestion de la France de gauche comme de droite depuis de nombreuses années . Il s'agit surtout d'un coup fatal infligé au modèle du « colonialisme du welfare state » qui a remplacé le colonialisme classique dont la charte des Nations unies avait imposé la disparition car contraire au droit naturel. La soit disant solidarité nationale dont on abreuve les guadeloupéens depuis plus de cinquante ans avec l'aide des médias français en Guadeloupe, propriété du capital français qui en règle générale les contrôle et qui pour mieux masquer cette véritable imposture met en avant des journalistes guadeloupéens c'est à dire quelques personnes qui selon leur idéologie ont eu le malheur d'être né en Guadeloupe car pour elles l'éloignement est un handicap. Pendant son bref passage dans notre pays, HOLLANDE qui a approuvé notamment par son silence les exploits sexuels de DOMINIQUE STRAUSS KHAN , dissertera sur l'égalité avec la France , la lutte contre le chômage et la soit disant décentralisation . Rien de nouveau : des paroles , encore des paroles , toujours des paroles. Le projet des socialistes français et des conservateurs socialistes de la Guadeloupe a été et sera pour notre pays un poison qui tue à petit feux . Les nationalistes et les patriotes estiment qu'il est d'un autre temps .Á la disparition programmée de la nation Guadeloupe qui est l'ambition principal de ce projet , nous opposons le projet de rétablissement de la souveraineté des guadeloupéens et de la Guadeloupe gage du bonheur de chacun d'entre nous.
ELUTHER JEAN PAUL