LA CONVENTION POUR UNE GUADELOUPE NOUVELLE, ce 10 décembre 2010,
Rend un vibrant hommage à toutes celles et à tous ceux qui luttent au quotidien pour faire respecter dans leurs pays réciproques les droits de l'homme qui sont une conquête de l'humanité .
Malgré les progrès réalisés, il y a encore beaucoup de progrès à faire dans la plupart des pays.
Notamment en Guadeloupe, le droit des peuples à choisir leur gouvernance selon le droit international de la décolonisation n'est pas respecté par les autorités françaises qui considèrent que c'est leur constitution qui doit régir cette affaire. Il en est de même des dispositions nombreuses et cachées sur la police administrative qui ne respectent, ni le droit international des droits de l'homme, ni des dispositions françaises notamment celles qui concernent les relations entre administration et administrés et ni la dignité et la liberté des individus.
Enfin, les guadeloupéens plus particulièrement à l'école subissent une assimilation de tous les instants à la culture française qui en font après quelques années des êtres mal dans leur peau, amorphes et déséquilibrés au plan psychologique.