LES FRANÇAIS CONTINUENT DE COLONISER MALGRE LE DROIT INTERNATIONAL
Nous continuerons à le dénoncer car c'est un scandale : la France nous colonise malgré le droit international dont la mission est de protéger les pays dépendants et les nations sans état et cela avec la complicité de la communauté internationale .Ce comportement vient à nouveau d'être illustré par la désignation en conseil des ministres du 28 octobre d'un nouveau préfet .Voilà personnalité qui détient tous les pouvoirs dans notre pays , masqué en haut fonctionnair que personne ne peut interpeller politiquement qui est désigné dans notre pays sans consultation des autorités politiques de notre pays . Le Préfet en effet est le gouvernement en Guadeloupe.Il n'est pas que son représentant car il signe des protocole de gouvernement .LA CONVENTION POUR UNE GUADELOUPE NOUVELLE dénonce ce mécanisme de gouvernement qui n'est pas démocratique et de demande la mise en place de nouvelles règles .
LE BUDGET TEL QU'IL N'EST JAMAIS ANALYSE
La CONVENTION POUR UNE GUADELOUPE NOUVELLE dénonce la parodie du budget de la Guadeloupe adopté en France par les autorités francaises.
Ce budget est élaboré et adopté sans aucune concertation avec les guadeloupéens.
Ce budget ne prend en compte que 12% des dépenses totales, celles du sous ministère de l'outre mer qui ne sert à rien sinon à augmenter nos dépenses et les impôts des contribuables.
Ces véritables chiffres nous sont donnés par un document confidentiel que personne et pour cause ne commente.Selon ce document que l'on peut retrouver sur le site du ministère des finances, le total de dépenses pour faire fonctionner nos services publics et non l'effort de la France comme le stipule ce document est de 2.123.481.084 en credits de paiement. Le prix des services publics aurait été en 2008 de 2.053.004.805 . Il est réparti en 25 missions dont deux pour le sous ministère de l'outre mer et 92 programmes .Les exonérations d'impôts et de cotisations sociales sont considérées comme des dépenses.
Ce document ne comporte pas de recettes car bien entendu les guadeloupéens étant à la charge des francais ils ne payent pas d'impôts.
Personne ne sait véritablement le total de dépenses réalisées en 2008 et 2009, la loi de règlement ne donnant pas ce type d'informations.
La procédure budgétaire francaise pour la Guadeloupe est contraire au droit international de la décolonisation.
CORA QUITTE LA GUADELOUPE, LA MARTINIQUE ET LA GUYANE
SISB, holding du groupe Cora, gérant aux Antilles-Guyane 28 filiales du groupe, se désengage de la zone. Tout le groupe est à vendre en Guadeloupe, Guyane, Martinique, Saint-Martin, Saint-Barthélémy, c'est-à-dire 4 hypermarchés Cora, 15 supermarchés Match, 57 Ecomax, 1 Leader Price en Guyane, Propadis, la plate-forme de distribution des Ecodis en Guyane, les 11 dépôts desservant la la totalité des magasins logés dans la filiale Sovena. Le groupe a rencontré cette semaine la totalité des partenaires sociaux des cinq territoires qui représentent quelques 2 344 salariés. Le groupe a réalisé 543M€ de chiffre d'affaires dans la région en 2008. "Nous quittons la région car nous y avons perdu beaucoup d'argent et que nous ne sommes pas parvenu à réaliser la stratégie imaginée en 2000 lors de la reprise de notre franchisé Primistère-Reynoird, à savoir réorganiser cette base pour poursuivre notre développement vers la Caraïbe et l'Amérique latine", explique Etienne-Denis Reynaud, directeur général de SISB. Selon lui, l'idée de vendre a germé en 2005 suite au à la contre-performance du remodellage du Cora Bas-du-Fort en Guadeloupe et les choses se sont accéléré en avril 2009, après les mouvements sociaux de début d'année.Le départ de cette entreprise est à la fois un coup dur pour l'économie d'importation , la consommation et un avertissement pouyr mieux préparer l'avenir.
La CONVENTION POUR UNE GUADELOUPE NOUVELLE dénonce cette décision , exige qu'elle ne donne lieu à aucun licenciement et demande que les subventions qui ont été versées à ce groupe soient remboursées intégralement et préconiose une reprise de l'ensemble des activités par un fons d'investissement guadeloupéeen comprenant des participations des collectivités locales et des particumliers .
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