La CONVENTION POUR UNE GUADELOUPE NOUVELLE,
Regarde avec perplexité et colère le spectacle donné par les autorités françaises sur les langues qui illustre le mensonge permanent d'un état nation qui approuve une convention internationale sur la diversité des cultures tout en mettant tout en ouevre pour ne pas l'appliquer sur les territoires qu'elle contrôle sans base légale et notamment à l'école ;
Appelle tous les guadeloupéens à ne pas se préoccuper de décisions qui ne sont pas conformes au droit international et à renforcer au quotidien notre bilinguisme et notre langue qui appartient au patrimoine guadeloupéen;
Demande au Conseil général et au Conseil régional d'introduire ensemble une proposition de loi justifiée par le droit international pour que nous utilisons en toutes circonstances le français et le guadeloupéen restrictivement qualifié de créole ;
Appelle à la création d'une structure administrative dont la mission sera de développer notre langue et nos habitudes linguistiques.